Undersøgelser over, hvorvidt Hypotesen om Materiens Enhed kan bringes i Samklang med Theorien om Atomernes relative Vægt

331 Relation remarquable entre les poids atomiques. 25 q u e s par u n f a c t e u r d o n n é, c e q u i ne c h a n g e r a i t ri en non plus ä 1 eur s relations mutue 11 e s , on p o u r r a i t c o n s t a t e r des rapports c a p a b 1 e s d’as- sign e r un e cause commune aux é c ar t s qu e font tons ces poids avec les nombres entiers. La base de tons les poids atomiques déduits des recher- ches de Stas, est la relation de 1’argent ä Foxygéne, pour laquelle Stas a, comme on le sail, donné cinq valeurs indé- pendantes les unes des autres et dormant pour moyenne: 0 = 0,148244 Ag. Par consequent, on trouve pour 1’argent: 107,9299, 1’oxygéne etant 16. Ce rapport reste naturellement inalterable quand on multiplie les deux nombres par tin facteur cominun 1 7, et I’on pent alors poser (1 + q) 0 = 16 4- x (1 4- g) Ag = 108 + y. d’ou résulte 0,148244 16 +<2? 108+y' Ces deux equations renfermant trois inconnues, ne peuvent pas se résoudre si I on ne connait pas le rapport entre x et y. J’ai done préféré I’essai du rapport le plus simple en posant x — y, d’oü j’ai obtenu 1 + g = 1,000762 x = 0,0122 ; e’est-a-dire que, multiplies par la valeur indiquée pour 1 -{- 7, ces poids atomiques deviennent respectivement 16,0122 et 108,0122. Puis j’ai cherché ce qui arriverait pour les autres corps simples en multipliant leurs poids atomiques par un meme facteur 1,00076, et ä mon grand étonnement j’ai constaté que les ecarts faits par les poids atomiques avec les nombres entiers les plus voisins deviennent, par une forte approximation, multiples de 0,0120. L’approximation était poussée si loin,