Undersøgelser over, hvorvidt Hypotesen om Materiens Enhed kan bringes i Samklang med Theorien om Atomernes relative Vægt

Forfatter: Julius Thomsen

År: 1894

Forlag: Bianco Lunos Kgl. Hof-Bogtrykkeri (F. Dreyer)

Sted: København

Sider: 37

DOI: 10.48563/dtu-0000302

Emne: Særtryk af Overs. over D.K.D. Vidensk. Selsk. Forh. 1894

Relation reniarquable entre les poids atomiques des éléments chimiques. Poids atomiques rationnels.

(Meddelt i Mødet den 14de Decbr. 1894)

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 36 Julius Thomsen. < 342 poids apparent du corps excéderait celui qui répond ä la mässe de ce corps; dans l’autre cas, il serail plus faible. Si done nous voyons les atonies charges d’électricité positive ou d’élec- tricité negative, la terre, par ex. ayant une résultante électrique negative, les atomes du premier cas nous présenteraient nn poids apparent plus fort, les autres 1111 poids apparent moindre, c’est-a-dire que, pour les corps simples électro-posilifs, le poids atomique excéderait la valeur qni correspond å la masse propre de l’atome et s’exprirne en nombres entiers; pour les corps simples électro-négatifs, ce poids restera en deca, ce qui par consequent concorderait bien avec la relation constatce. Mais, ici aussi, l’on se heurte centre une difficult^ principale; car une relation comme cette derniére entrainerait conséquern- ment une acceleration quelque pen différente pour les divers corps simples., et les experiences faites dans ce sens n’en ont pas fait constater. Toutefois od peut appliquer å ceci la remarque que les conclusions des experiences faites jusqu'ici, peuvent difficilemenl se dire péremptoires; car on n’a point experiments sur les corps simples dont l'écart constitue un maximum vis-ä-vis de leur masse, par ex. les métaux alcalins. Et quand méme, å la suite ((experiences conduites de maniére ä répondre perlinemment, (explication du phénoméne serail voie impraticable, la relation constatée entre les poids atomi- ques des corps simples n’en est pas moins d’une nature assez remarquable pour susciler une recherche soigneuse tant des généralités de ladile relation établie que de sa cause la plus probable. C’est å peine s’il y a lien de doutef qu’on puisse démontrer une relation entre les susdits écarts d’avec les nombres entiers présentés par les poids atomiques rationnels, et le caractére cbimique des atomes eux-mémes; mais pour cela on aurait ä determiner d’une maniére tout å fait sure le poids atomique des corps simples en plus grand nombre que les treize elements précités, et pour effeetuer ce travail il ne faudrait pas moins d’une longue serie d’années, si, sous le