En Samling Afhandlinger Om Veje 1876-1881

— 12 — et non de les désagréger et l’on obtiendra rapi- dement une route susceptible de ne präsenter ni flaches, ni frayés, quelle quesoit sa fréquentation, quelle que soil la durée de la pluie et de la sécherøsse. 2° Chaussée ä l’état parfait d’entretien. — Sur une chaussée å l’état parfait d’entretien, ou les détritus ne sont qu’en proportion convenable pour donner å la croüte solide la plus grande résistance, la plus grande compacité possibles, Ie bolayog© a pour but do maintcnir cells pio- portion et, par suite, la beauté conslante et Ie parfait uni de la surface. On objectera, peut-elre, que par une sécheresse prolongée un balayage continu de la poussiére pent désagréger les chaussées; c esl la une erreur facile å réfuter : si le balayage avec le balai a résistance facultative est fait de moniere å enlever settlement les detritus flottants qui n’ont plus aucune liaison avec 1’empierrement, il est évident qu’il ne cause aucun prejudice å la chaussée; et je n’ai jamais compris que le balayage füt fait autrement. Dans eet ordre d’idées, je ne saurais done trop répéter que le balayage est le moycn le plus économique, le plus facile et le plus prompt,