Stofskifte Ved Psykisk Arbejde
Experimentale Undersøgelser Udførte Paa Universitetets Psykofysiske Laboratorium

Forfatter: Otto Olsen, F.C. Becker

År: 1913

Forlag: Bianco Lunos Bogtrykkeri

Sted: København

Sider: 109

UDK: 612

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102 d’air, on laisse couler lenlcment le mercure par un tube en caoutchouc muni d’unc pointe de verre finement allongée. Lors des expériences oil nous avons employe cctte methode, nous avons fait (hirer environ 2 minutes l’écoulement du mercure. Pour que l’échantillon recueilli de Fair expiratoire put étre un échantillon moyen exact de Fair expiré pendant les deux minutes, nous avons inséré sur le conduit expiratoire, immédiatement avant l’appareil de prélévement, un recipient de mélange d’environ 600 cm.3. Voir la figure. Au fond de ce reci- pient de mélange est dispose un tube de verre en U que 1’on a rempli d’eau cl qui a servi de manometre dans certaines expériences faites par nous pour rechcrcher comment la respi- ration se modifiait lorsque variait la pression inspiratoire. En outre un mince Lube de caout- chouc reliait le conduit d’expiration å un tambour de Marey, lequel enregistrait la respiration sur un cylindre rotatif. Iére partie. Expériences de repos. Quelques minutes avant l’expérience et pendant tonte la durée de la dite experience l’individu était assis dans un fauteuil commode, en etat de repos physique complet, 'route l’expérience de repos (voir tableau VIII) durait 42 X 40 secondes. On voit par le tableau que Jo niveau respiratoire s’abaisse d’unc valour maximale de debut a tine valour finale minimale. On put constater que cette diminution était un phénoméne constant pour toutes les 4 per- sonnes soumises å l’expérience. Cette experience, qui dura unc demi-heure, fut partagée cn 3 periodes, chacune d’environ 1) minutes. Il en résulte que la diminution observée du niveau respiratoire est plus forte au debut de l’expérience qu’å la fin, de sorte que le niveau respira- toire se rapproche d’une valeur constante. Dans chacune des 3 periodes d’expérience on pril un échantillon de Fair expiratoire, dont la teneur cn COfl pour cent est a Ires pen de chose pres constante dans les 3 periodes. Nous mentionnerons en outre une experience de repos qui dura 50 minutes. L’expérience fut également partagée cn periodes de 10 minutes, el Fair expiré hit recueilli alternativemenl dans les deux spirometres; dans Fair expiratoire ainsi prélevé on détermine la valeur moyenne du pourcentage de CO2 pour chacune des 5 periodes (voir tableau 10). On constate que Eli- mination de CO2 dans cette experience de 5,03 cm.8 par seconde dans la le période, el qu’elle est par centre de 4,55 cni.s et (*c 4,60 cm.3 par seconde dans la 4C et la 5e période. On voit ainsi que 1 ’cl i in in a t i on de CO2 a baisse en line demiheure d’environ 10 °/o. Dans une autre experience organisée de meme sorte (voir tableau KII) on a également incsuié le nombre des respirations par minute. A 1 aide de cette mesure on a pu calculer le poui cen- tage de CO2 dans l’air des alveoles pulmonaires. Il en résulte que la diminution signalée dans l’élimination de CO2 est accompagné d’une augmentation du pourcentage de COa dans l’air des alvéoles: le fait doit vraisemblablement s’interpréter comme signifiant unc augmentation du depot de CO2 dans 1 organisme par suite dime ventilation pulmonaiic moins effective. Échanges chimiques dans de petits travaux musculaires. Cette experience fut faite avec l’aide d’un ergographe å poids, de sorte que l’individu en experience était tranquillement assis cl ne travaillait que d’une main. L’expérience fut par- tagée cn 5 periodes: d’abord une période de repos, puis 3 periodes de travail ou l’individu exécutait un petit travail consistant a lever toutes les deux secondes par ex. 6 kilogr., finale- ment une nouvcllc période de repos. On voit par 1c tableau XIV cjuc 1 elimination de est ires accrue dans |a premiere période de travail, un pen nioindre dans Ies