Stofskifte Ved Psykisk Arbejde
Experimentale Undersøgelser Udførte Paa Universitetets Psykofysiske Laboratorium

Forfatter: Otto Olsen, F.C. Becker

År: 1913

Forlag: Bianco Lunos Bogtrykkeri

Sted: København

Sider: 109

UDK: 612

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103 2 périodes de travail suivantes et que dans la derniére péri ode de repos eile est moindre que dans la premiere periode de repos. Comme on a également de- termine le nombre des respirations par minute, on en a déduit le pourcentage e 2 < ans 1’air des alvéoles pulmonaires: or on constate que la proportion de CO2 est a peu pres con stante, mais avec une faible augmentation pendant le ti avail. L experience ou in dividu levait 6 kgr. toutes les deux secondes donne une assez forte augmentation d echanges chimiques pour qu’on ait pu en déterniiner la valeur absolue avec une giande precision, pai centre, l’expérience avec soulévement de 2 kgr. toutes les 2 secondes donna une si faible augmentation d échanges qu il fut impossible de determiner celle-ci avec quelque exactitude. Le tableau XV représente une expérience oü 1’on a enregistre en outre le grandeur du travail å 1’aide d’un kymographs. Le travail consistent a soulever des poids de 1-2-4-6-8 kgr. En comparant l exccdent de CO, que produisit le tr.iv.ii execute avec Ies «livers poids on voit que eet excédent s’éléve réguliérement de 0,^8 cm. par seconde å 1,69 cm." par seconde pour 1 kgr. et 8 kgr. respectivement. Le travail four ni s eleve en meme temps de 3 kg.cm. par seconde i 20.07 kg.cn>. par seconde. L effet utile peut se cal- culer par ces deux series de chiflres: or on constate que 1’effet utile du travail accom- pli avec ces tres petits poids s’accroit ä mesure que s accroissent les poids. Dans son livre intitule .Grundriss der Psychophysiologie., M. A. Lehmann a calcule a grandeur <lu travail musculaire pour des poids variables. 11 trouve ainsi que chaque muscle execute son travail maximal cn meine temps qu’il arrive å 1 effet utile maximal. Alm <1 exa miner si cette lot vaut pour 1’organisme dans son ensemble, nons avons precede a une s< le d expériences se composant de 4 experiences isolées. Dans duo«' opera 20 soulevements en 40 secondes avec des poids < e > „ périodes <lc travail étaient séparées par des périodes de repos de 5 X 0 seen , . O ne travaillait qu’avec 1’index de la main droite, la dite main restant par ailleurs. en.repos mn plet Dans ces experiences on employa simplement 1 accroissement de la respiration comme rexpression des /changes chimiques. Cette méthode se justifle dans des expenences de ce geX en effet I'augmentation dans lamination d’acide carbonique exprmee en pour cen de la’valeur de repos et l amentation dans le niveau respiratoire expnn.ee. en ponr - de l i valeur de repos dans le cas d’un travail avec des poids jusqu a 8 kgr. toutes les deux secondes sont presque exactement identiques (voir tableau XVI). Le resultat des experiences faites sui’vant cette méthode est le suivant: tandis que 1’effet ulde pour le nwsc e >so e - meme temps quo le muscle execute son travail maximal, cn calculé pour l ensemble de 1’organisme atteint son maximum longtcmps atteigne Ie maximum du travail possible. vaillant atteint son maximum en revanche reflet utile avant que le muscle Le niveau respiratoire et l’état barometrique. ' ’ « d’exvériences on détermina quotidiennement pour le meme individu, temps assez long, le niveau respiratoire å l’état de repos. On prenait en meme . experiences furent faites au meme moment de la journee et Or on observa que le niveau respiratoire se modilie quelque ,r ■, .auuv „..../des conditions semblables par ailleurs. On doit admettre ä denombreux facteurs ont une influence sur le niveau respiratoire quotidien; ndeur du niveau respiratoire avec l’état barometrique reduit, on _____crt oscillatoire inverse nettement perceptible, de sorte ’ issement dans la pression atmosphérique amenait Dans une serie pendant un I temps l’état barométrique. Les dans des conditions identiques. peu d’un jour ä 1’autrc dans 1’avance que _________ mais en comparant la gra saperSut quil existait un rapport oscmaLoire ,»,«.»« ____..... ----------- qu’une élévalion ou un a baissemenl da ns 1 a pression atmospher.que amena.t respective,„ent un abasement ou une elevation dans le n.veau respiratoire au repos. On lit plus tard une série d’expériences correspondantes avec le meme mdividu, et alors aussi le phénoméne apparut avec exactitude. (Voii fig. 7