Stofskifte Ved Psykisk Arbejde
Experimentale Undersøgelser Udførte Paa Universitetets Psykofysiske Laboratorium

Forfatter: Otto Olsen, F.C. Becker

År: 1913

Forlag: Bianco Lunos Bogtrykkeri

Sted: København

Sider: 109

UDK: 612

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104 Rechorches rospiratoires élémentaires. Cette serie d’expériences eon,prend des experiences ayant pour but d’examiner comment se component le volume respiratoire el l’élimination de CO.„ quand on augmenteou entrave arbitrairement la respiration. Nous avons procédé å ces experiences parce que nous pré- voyions une objection éventuelle contre nos expériences de travail psychiquc ou, sous n fluence d une suggestion ou volontairement, il se pent qu'on entrave ou qu on augments I,, respiration. Nous avons done eherché ä nous rendre compte de certains md.ces prec.s pou- □ nous révéler quand avaient eu lieu eette entrave ou celle augmentation voon la respiration. Comme il ressort des resultats donnes ci-aprés, 1 entrave ou augmentation arbitraires de la respiration s’accompagnent de changements caractenstiques < ans e niveau respiratoire, dans l’élimination de CO2, et dans les variations de la teneur-en ’ pulmonaire. Nous mentionnerons d’abord les expériences avec augmentation arbitrage la respiration. Les expériences se partagérent en 3 periodes. Dans la premiere periode on respirait normalement; dans la seconde periode on augmentait la respiration autant que^pos- sible mais en conservant autant que possible le méme nombre de respirations Dans la troisiéme periode cessait l’augmentation arbitraire de la respiration. Les chillies des exp riences sont donnés dans le tableau XX. On voit par lå que le niveau respiratoire seleve imm&iiatement å plus du double de la valeur de la période de repos et résiuliérement. Dans la troisiéme période le niveau respiratoire s abaisse considerableme et”renionteensuite d’une Facon reguliere vers la valeur normale. Cette nu.rche su.v.e par la courbe du niveau respiratoire s’explique ainsi: Dans la respira ion ^ornJale rCI’°nS’ le niveau respiratoire s’obtient résout par mouvements réflexes suiyant une auantité x telle que la ventilation pulmonaire L ainsi produite maintient a neu pX constant le pourcentage de CO2 contenu dans l’air des alveoles Pendant la respiration volontairement accrue, le niveau respiratoire devien fa somme d 2 grandeurs, savoir: V le niveau automatiquement obtenu par la auantité de CO2 contenu dans l’air des alveoles, et 2« l’accroissement vo o - laire de la respiration. Quant on augmente volontairement la respiration, le poui centage de CO2 diminue dans les alveoles, ce qui ressort des échantillons analyses, Ensuite oi sq cesse Faccroissemcnt volontaire de la respiration et qu’on kusse les mouvements respiraloiref se produire librement, le niveau respiratoire devient tres bas, car la proportion de GOa con- tenue dans l’air des alvéoles n’est plus suffisante pour produire par action reflexe la mci ventilation des poumons qu’au debut de (experience; mais comme il se (leveloppe toujoun du CO dans l’organisme, la proportion de CO2 contenue dans lair des alveoles montera neu å peu et en meme temps s’accroitra la ventilation pulmonaire jusquå ce qu on atteigne 1’étQt d’équilibre Nous avons procédé å plusieurs expériences de ce genre, et la courbe de resph'ation suivit toujours une .narehe si réguUére que, partant de noire » ci-dessus pour la résolution de la grandeur du niveau respirato.re, nous avons ™‘reP calculer mathématiquement la marche de la respiration. On peul e°nstaler que * æ calculés coneordaient tres exaetement avec les chlffres mesun» La,S“ w foL renle lut que le volume calculé pour les poumons etalt de 27000 cm., carboniaue de plus grand que celui du volume vrai. ^explication en est que la tension d acide carbonique e Fair des alveoles correspond avec la tension d’aeide carbonique du sang, ce qu., dans c u donner un volume pulmonaire trés aeeru. Nous ment.onnerons ensu> e es 'ente faites avec la respiration artificiellement cnlravce. Ces experiences furent falles exaclemer comme celles que nous venon.s de mentionner et OÜ l’on augmentait artlhcidlement la resp.ra- “on L-exXience se divisa e„ 3 periodes. Dans la premiere période on respiran normale- „>enl, dans la deuxiéme la respiration était entravée autant que possible Le niveau toire descendait de la sorte jusqu’au chilFre de 20 environ en partant de la normale, qui < l.u