Stofskifte Ved Psykisk Arbejde
Experimentale Undersøgelser Udførte Paa Universitetets Psykofysiske Laboratorium

Forfatter: Otto Olsen, F.C. Becker

År: 1913

Forlag: Bianco Lunos Bogtrykkeri

Sted: København

Sider: 109

UDK: 612

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105 d’environ 115 cm? par seconde, mais remontait peu å peu jusquå 60 environ, tandis que le nombre des respirations était de 2 environ en 40 secondes. Un échantillon de 1 air expiratone révéla une teneur de 6,40 «Io de COa. Dans la 3’ période cessa lentrave volontairement ap- portée å la respiration. Le niveau respiratoire inonta aussitöt a 270 cm. par secon< e, sol plus du double du niveau normal et s’abaissa ensuite réguliérement jusqua environ. Cette entrave de la respiration causa quelque gene å la personne en experience, ma is par centre elle n’éprouva aucun désagrément å augmenter volontairement la respiration pendant les 10 minutes que dura cette augmentation. Cependant d’autres auteurs ont constate que s 1’on continue pendant un temps assez long å augmenter volontairement la resp.ration 11 pent en resulter des phénoménes tres désagréables, tels que l'évanouissemenl, etc. On peut resu- mer comme il suit le resultat de ces experiences et les calculs. La respiration s'effectue automatiquement dans de telles propor ions que le pourcentage de CO, contenu dans l’air des alveolesse ° pe" pres constant S’ il se prodait des modifications dans le CO /.de 1 a 1 * ... ' „ „ 4. „ nncBifnt iivpc une nouvelle vaieur qui lenu vpoIps la resniration se presente aussitoi <iv r . ’ ” • <?• i p<st aiwmentée ou diminuée volontaire- n anlanir les modifications. Si la respiration est augmemcc . a apianir res muuiiicdi i’nrøanisme sera respectivement diminuee ment, la provision d’aeide carbonique en suspens danf « ■ nr;nP;nP nue l’oreanisme se ou augmentée. Ce processus peut se calculer en partant de ce“e V comporte comme un recipient ‘ «>n‘enan‘ de J f1™1® modiflcation SUrvenue dans la du récipient s accroit avec le temps, et cela Me 1 narties concentration d’aeide carbonique de l’organisme ne se propage que peu a peu par . périphériques de (organisme. Modifications subies par la respiration quand les yeux sont pendant le sommeil. , . M. Pflüger a montre par des expériences faites sur les , ammaux que. es; ec miques diminuent d’intensité quand les yeux se ferment Nous avons fu tune= ex pe analogue sur nous-mémes. L’expérienee comprenait 3 Penodes (vo.r le Ä nXXI I).^Le yeux étaient fermés dans la 2« période. La personne en “un J ane 1 occlusion des yeux s accompagnau u un dans un état de repos complet On‘ cons,teanta^e1 °emps se ralentissaient l’élimination de abaissement du niveau respira 01 é , e tableau XXIV montre que le pourcentage l’acide carbonique et 1 absorption de lo> yg sensiblement accrü au Cours de l’éxperience. calculé de CO2 dans les alveo es pu m < . nériode on trouve le quotient respiratoire le Ce fait, joint å eet autre fait que dans la 2 Pe”°de ^“^ntilation des poumons a été plus bas, indique que, pour un* qui se’ produit dans les échanges chimi- pendant cette periode moms e ’t.étre en partie de la diminution d’aetivité cerebrale ques quand on ferme eSJe^ e c Ue Pß favorise rétat de repos se trouve entravée qui resulte de ce que la vie inieiieciucu n quand les yeux se ferment experience relative aux conditions de Nous nientionnerons mainlenant en respiration pendant le sommeil. nersonne en observation tomba accidentelle- Cette experience se P«-nU paree Q« >« P^X^encée avec un autre but L’orga- ment en etat de sommeI\Pe“ le Patient, dont le sommeil dura 22 X 40 secondes; nisateur de 1 experience laissa aormn j , VPnx se fermérent aorés le réveil ’exnérience continua avec la 3' periode. Auss.tot que les yeux se terme, ent apres le uven, icxpene nrnduisit un abaissement du niveau respiratoire, que 1 on et que le sommeil commen^a, il se produisn uu évalua å environ 14,5 % de la vaieur moyenne a eta <e lepos. , -i rxn ohcprvn op fait curieux que la courbe du niveau Pendant la période de sommeil on observa ce lau cune 4 aVPe dos nn K lirtno drnitp tandis au elle se pieseme avec aes on- respiratoire se développa a peu pres en ligne ’ _ dulations réguliéres dans l’état de veille au i epos. D.K. D. Vidensk. Selsk. Skr., 7. Række, naturvidensk. og mathem. Afd. XI. 1. Il v a done une difference caractérisée 14