Stofskifte Ved Psykisk Arbejde
Experimentale Undersøgelser Udførte Paa Universitetets Psykofysiske Laboratorium
Forfatter: Otto Olsen, F.C. Becker
År: 1913
Forlag: Bianco Lunos Bogtrykkeri
Sted: København
Sider: 109
UDK: 612
Søgning i bogen
Den bedste måde at søge i bogen er ved at downloade PDF'en og søge i den.
Derved får du fremhævet ordene visuelt direkte på billedet af siden.
Digitaliseret bog
Bogens tekst er maskinlæst, så der kan være en del fejl og mangler.
106
dans la marche de la courbe respiratoire å l’état de repos et å l’état de sommeil. Nous ne
pouvons décider par nos mesures si les ondulations que 1’on observe sur la courbe du niveau
respiratoire dans l’état de veille au repos doivent s’interpréter comme 1’expression des oscil-
lations dans les échanges chimiques, — et ce serait I’hypothése la plus vraisemblable, — ou
bien si elles ne soot pas dues simplement au mécanisme meme de la respiration. Le résultat
de ces recherches pent se formuler ainsi: Pendant le repos la respiration, å« l’état
de veille, suit une courbe regulieren)ent ondulée, de sorte qu’il y a environ
5 minutes d’un sommet d’onde au sommet suivant. Lorsque le sommeil sur-
vient le niveau respiratoire s’a ba isse, a pres quoi la respiration suit son cours
avec une valeur cons tante. Cette respiration å marche ondulée pendant l’état de veille
et de repos a peut-étre pour cause les variations dans les échanges chimiques, variations
produites par des changements dans les états de conscience, dans la concentration et dans
la distribution de l’attention.
IIe partie.
Si le travail intellectuel suppose une dissociation des biogenes du cerveau et par suite
une augmentation dans les échanges chimiques, il est clair que le fait se démontrera le plus
aisément par des travaux ou 1’effort d’attention sera grand. En eilet la tension intellectuelle
s’accompagne généralement, an bout d’un temps donné, d’une assez grande fatigue, et nous
devons admettre å priori que la sensation de tension et de fatigue se produit surtout dans
les cas ou 1’on impose å 1’organisme des exigences considerables. En tons cas le point de
départ le plus naturel pour une recherche coniine celle-ci est de supposer que les échanges
deviennent d’autant plus actifs que le travail intellectuel parait plus difficile å Findividu.
Les recherches de M. Lehmann ont prouvé que la fatigue produite par l’activité psy-
chique dépend avant tout de la distribution de l’attention; aussi, ayant å choisir un mode
determine de travail intellectuel pour nos recherches, avons-nous donné la preference au
systéme, bien connu par d’autres experiences psychiques, qui consiste å apprendre par cæur
des séries de syllabes dépourvues de sens.
On obtient ainsi un double avantage. D’abord on pent fournir ainsi une infinite