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qui, fail pour promener Finfirmité, 1 existence ephemere du lils
ainé de Louis XVI, fut prélé par M. le comte de Saini-Maurice.
Pres de lå, se voyaitla voiture de gala qui servil au baptéme du
Prince imperial en 18d6, et, autre Iccou d liisloire, la pclilc x oiliu <
aux chévres du com le de Chambord enfant.
Une des plus curieuses parties de cette exposition introspective
était formée par la collection de rares estampes el documents,
prétés par MM. Rheims et Auscher et qui permettaienl de suivre,
depuis l’époque romainejusqu’å nosjours, les etapes suivies par les
progres de la carrosserie.
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La Section frangaise du palais tic 1 Agriculture occupail un<
large place, et, en outre des modéles qui avaient leurs sinulaires
dans les sections étrangéres, contenait quelques modéles abso-
lument uniques et spéciaux å la France.
Au palais de l’Aéronautique, un grand salon oblong el transversal
était en quelque sorte dédié å la France, car on laxail <q>|>( I«
« Salon Renard » : les peiulures de son plafond rcprésentaienl la
partie inférieure du dirigeable Renard.
Au pavillon de l’Hygiéne, la France était représenlée partoutes
ses æuvres antituberculeuses qne montraient des documents el des
plans. Elle avail également expose des habitations ä bon marché
el loul ce qui concernait la vie au lover.
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Au palais de la Marine, la Section frangaise avail (les photo-
graphies et des plans de nos plus puissants cuirasses existants, el
en construction, que des vues d’intérieur aidaient a se figurer
tres exactement.
Au palais de 1'Automobile, les seel ions étrangéres étaient dif-
ficilement comparables a celles de la France, dont les constructeurs
avaient envoyé de véritables mcrveilles comme contort, soluble el
mécanisme.
Deux modéles étaient particuliérement curieux au premier <1<‘
ces points de vue.
C’étail d’abord une limousine-salon dont les siéges pouvaienl se