Rapport géneral de la section francaise

■..1 ■ ,=S—I— _____ — 316 — 2° Avec les memes Sections Irancaises «Ians les aiitres Expositions (Liege, Saint-Louis, 1900, eie."). HI. Description. — Aspect general de voire Section, de son emplacement, de sa decoration générale et de sa décoration parliculiére, de celle des expo- sitions les plus saillanles, des produils les plus notoircs el les plus nouveaux. Comparaison avec les Expositions élrangéres rivales, avec nole sur leurs cotes saillanls, sur les maisons, usines el produils de nature <*i nous crccr nue concurrence ou a nous suggerer des imitations, des perlcctioiiiieinents ou des procédés nouveaux de fabrication. Iiilercaler dans celle parlie de voire rapport des vues d'ensemble et par- tielles de voire Section, des photographies, aquarelles on dessins ä demanden aux e.xposants on aux éditeurs el publicisles qni en auraienl la propriélé, avec, bien enlendu, les autorisations nécessaires pour leur reproduction. Mettre les memes illustrations pour les Seetions éI rangeres. nolaininciit pour celles de nos concurrents les plus (lireels. l\ . Jury. — Pourchaque groupe, indiquei' la composition du .lurvet de son bureau el la repartition de ses membres. [ndiquci* de meine le noinbre cl la repartition, par nalionalité, des exposanls, des recompenses oblenues, et établu-leur proportioniKilité par rapport å celles accord ces å la l’rancc. l'aire de meme pour les recompenses de coHaborateiirs. \ . Conclusions. — Le Jury des recompenses est une excellente tribune <1 observations. Il faul savoir nous cn servir, sans loulelbis dépasser les bornes de la discretion. Kegardez (loncaulour de vous ; entretenez-vous ;i vec vos collégues élraugers; demandez leur opinion sur nos produils. sur ceux de nos rivaux ; visilez les maisons el les usines de la region, si vous en avez le loisir. Etablissez im parallele entre lours conditions de production, leur lacon de travailler, de commerce!', de rechercher les debouches, el les untres. llelevez les slalistiques recentes (celles de 1905paraissenl en oclobre ou novembre), comparez-les avec les untres, el cherchez surloiil ä lirer de lout cela des conclusions lerines, iiolamment stir les points suivants : Stir 1 opinion des Italiens sur nos produils; sur la comparaison (lenos produils avec les produils similaires Italiens ou élrangers pouvanl leur faire concurrence j sur les diverses lacons de conserve!’ la place acquise par nos produils; sur celles <1 auginentei’ letirs debouches; sur celles den créer de nouveaux; Sur les diverses l;i<,*ons de Irailer les allaires en Italic el avec des Italiens (vente lerme ou ;'i credit, vo vage urs, agents, etc.) ; Sur le credit qu il convienl d’accorder, sou coiilrole el la forme a lui donner. L Ilalie, vous ne I ignore/, pas, n’esl plus ce qu elle élail jadis, mi pays ]><ui\re el besogneux, ou les renlrées élaienl urdues el souvent avenliireuses, laute de ressources monétaires sunisantes. Aujoiird'liui, elle jotiil d un credit mdiseuté I aisance avec laqueile elle a accompli sa recente conversion en est une preuve indisputable); elle est en pleine expansion éconoiniquc el, non