Rapport géneral de la section francaise

Vous nous comblez de joie, Mme Maguin et moi, aprés les (lures fatigues de ces trois journées, d’avoir dispose en noire faveur d’un jour de repos bien mérité, avant de quitter la capilale qui vienl de vous Icier. C’est dans celle modeste habitation, aprés avoir traverse palais on somp- tueüses demeures, que vous étes venus échouer. Comment ne penseriez-vous pas que vous avez droit a toule noire recon- naissance et que nous soyons Halles, nies chers amis, de vous avoir ici ? Ces quelques jours, (pie nous venous de passer ensemble, m out rappele en petit, bienen petit, Ies merveilleuses fetes que vous nous avezdonnees a Milan. Ils nous out rappele les profondes sympathies qui existaient entre nous, l'inaltérable amitié que nous nous etions vouée, combien les deux nations sceurs avaient de points communs, el comme noscteurs étaienl bien fails pour se comprendre, Par voire visile en France, vous avez voulu fixer ä tout jamais le souvenir impérissable de l’æuvre triomphale que vous avez entreprise el dont nous avons été avec vous les niodcslcs artisans. Merci å vons, mon dier Président, dont le iioin en Italic el dans le monde francais du commerce et de l’industrie esl synonyme de génie et de patriots. Merci ;i vous, mes chers amis de la delegation, qui avez si bien secondé votre chef; leis vous avez été sous sou égide, en Italic, tels vous partagez avec lui, en France, sa gloire cl l’accueil enthousiaste qui vient de lui étre fait et auqucl nous applaudissons tous. Je suisheureux, dans ma propre demeure, de saluer, au nom do Mmc Maguin cl de mon fils, Mme et M. Chapelle qui nous out si amicalemenl accueillis å Milan, cl noire eher ami Gondrand, qui a eu pour nous Irois, ;i Milan, les attentions Ies plus familiales el dont les efforts constants out loujours tendu a me faciliter la lache. Que M. le Commissaire general, je pourrais dire mon ami M. Jozon, qui, avec sa haute compétence et sa légendaire droiture, a si bien représenté le Gouvernement francais a Milan, recoive ici I’hommage alFectueux que je Im dois el que je suis heureux de pouvoir lui exprimer clevant nos excellent« amis (1 Italic. El vous, Messieurs les Directeurs, Chefs de cabinet el Secretaires ((am- bassade, recevez tout particuliérement nos remerciements pour I honneur que vous nous avez fail d’accepter notre invitation, (1 avoir consent! ainsi a nous consacrer quelques instants de vos moments précieux. A vous, mes chers amis du Comité franeais, mes collaborateurs de tous les instants, j’adresse 1’expression de ma reconnaissance pour le concours dévoué que vous m avez prété å Milan et les aflectueux sentiments que vous ii’avez cessé de me témoigner, el laissez-moi regrelter I absence obligee de noire eher président Dupont et de nos amis Pinard el Sandoz. Enfin, a vous tous qui étes ici, a dillérenls litres, reunis en mi seul, eclui de Familie, je vons demandé de lever vos verres en I honneur de M. le 1 ré-