Rapport géneral de la section francaise

— 708 — 120.000 franc 20.000 i 70.000 — 310.000 francs. est <!e 24.500 metres). Aménagemenl du Salon dit «de France ». Douane et publicité_________________ G. Gardiennage el publicité___________________________ . Subvention aux groupes non conimerciaux . retrospec- tive des transports, economic sociale, associations ou- vriéres, etc., envoi de délégués ouvriers___________ Total__________ 11 est nécessaire toutefois d’appeler l’allention sur ce fait que les efforts devront porter, å Milan, (Tune facon tonic speciale, sur la decoration du Salon dit « de France », puisque, par une delicate attention <le I Adminis- tration italienne, celle piece, qui devra conslituer comme un centre <le l’Exposition, servira de grand salon de reception pour toutes les fétes officielles. Il convient, en outre, de remarquer, pour terminer cel examen des pre- visions de dépenses du Commissariat général, qu’une difference tres nette doit étre établie ici avec Liege pour tous les frais généraux. En eilet, Liege est å quelques heures de Paris, et les dépenses de chemin de fer sont insi- gnifiantes. A Milan, au contraire, les Irais de voyage vont, en tonics cir- constances, s’augmenter d’une facon considerable, en raison de la distance presque quadruple el aussi a cause des tarifs de transpoils. Il est indispensable, en outre, pour les mémes causes, d’avoir a Milan un Commissaire général-adjoint et des attachés qui demeureront sur place. On pent, en eilet, allerå Liege et en revenir dans la meme journée, sans que de tels emplacements, meme tres frequents, entrainent des dépenses considerables ; mais il est impossible, on lecomprendra aisément, de songer å agir de semblable lacon a Milan, oü une permanence esl d’une absolue nécessilé. Toutes ces raisons semblent done justitier la demande d un crédil de 310.000 francs. Le Gouvernement n’a, d’ailleurs, pas voulu préjuger en aueune facon de la decision des Chambres, et il lui a fall« en consequence se tenir sur une grande reserve en ce qui concerne non seulemenl Impor- tance, mais encore le principe meine de la participation officielle <le la France. . . . Ce n’est done que lorsque le Gouvernement sera lixe sur ce point, ainsi que sur le chillre du crédil mis a sa disposition, qu'il lui sera possible de prendre des engagements fermes et de clélimiter de facon precise l’étendue de sa participation. II. Agriculture. — Le credit reserve a l’Agriculture et raniené par la Chambre de 50.000 ä 16.000 francs peut sembler réduil si on le compare au crédil de 90.000 francs accordé å Liege pour le méme departement et sur- tout si l’on so uge å l’importance que pent avoir celte branche <1 Exposition dans un pays tel que lllalie.