Undersøgelser over, hvorvidt Hypotesen om Materiens Enhed kan bringes i Samklang med Theorien om Atomernes relative Vægt

337 Relation remarquable entre les poids atomiques. 31 beaucoup plus parfaite dans ce dernier cas. On trouve quelque chose d’analogue dans les rapports du soufre: les recherches de Stas comprennent deux combinaisons du soufre, et J(728O4, qui donnent entre les résultats de (experience et ceux du caicul les écarts suivants: Stas. Thomsen. 4- 67. IO“6 0 . IO”6 4«72:J<728C>4 -28 + 5 Ces derniers nombres presentant line concordance parfaite, il s’ensuit que l’écart de 0,0008 constate plus haut (v. tableau IV) pour les poids atomiques du soufre, se trouve tout a fait en deca des limites des erreurs d’observation. On ne saurait done douter que les poids atomiques du tableau V ne concordent parfaitement avec les résultats expéri- mentalement trouvés par Stas, et la question devient alors de savoir si la regie en vigueur pour ces poids atomiques, savoir qu’ils sont la somme de nombres entiers et d’un multiple de la constante a = 0,0120, s’applique aussi ä d’autres corps simples. Mais ä eet égard, les matériaux utilisables sont extréme- ment restreints; car å (exception de deux on trois corps simples, savoir 1’azote, le carbone et le fer, les poids atomiques n’ont pas été determines avec une exactitude qui permette de s’en servir: il faudrait pour cela que les diverses determina- tions du poids atomique d’un corps donné présentassent des écarts beaucoup rnoins divergents. Pour les trois corps simples susdits, l’examen montre qu’on a raison de poser comme suit le poids atomique rationnel: azote 14 4-4 a = 14,048 carbone 12 + a. = 12,012 fer 56 4~ 5 « = 46,060. En effet, pour determiner le poids atomique de 1’azote, Stas a fait cinq series ((experiences, dont les résultats sont