En Samling Afhandlinger Om Veje 1876-1881

— 43 Il on résulle une grande fatigue pour la circu- lation et unc grande perle de matériaux et de main-d’æuvre que 1’on doit éviter. La premiere operation å faire est de piquer le frayé sur tonte sa longueur et de le remplir en menus matériaux, cle maniére que leur surface araso, å peine, le niveau de la chaussée envi- ronnante. Puis, au moyen de petits emplois d'axe et de cotés, on rattacliora ce frayé å toutes les depres- sions et flaches qui le bordent å droite et å gauche. Ges petits emplois, convenabloment dis- poses, par periodes successives, feront varier le roulage qui, retombant de temps en temps sur la trace du frayé, cn aménera la prise. Eufin, pour completer ce mode de réparation, on pilonnera fortement la surface empierrée. Mais celle opération est difficile et delicate; elle demande beaueoup de soins, d’habitude et d’intelligence; il est done prudent de s’en garer le plus possible ; les conducteurs, cantonniers et voituriers s’en trouveront tous égalemcnt bien. Si Ton avail une orniére åréparer au lieu d’un frayé (ce qui serait deplorable å notre époque), on procéderait comme il vient d’etre dit; mais, dans cc cas, les reparations demanderaient 1880. 1., KÄRNTNERSTRASSE 34.