Kosmos III
Udkast til en physisk Verdensbeskrivelse

20 hvor Maanen ikke skinner, hæfter sit Die starpt paa Constellationen, faa vise sig syv Stjerner i denne: derfor kan det synes underligt, at Malus, i sin Besirivelse af Plejadernc, har ladet ogsaa denne Fejlta- gelse hos ham (Aratus) passere, som om Angivelsen var i sin Or- den." Merope kaldes i de Eratosthenes tillagte Katasterismer (XXIII), den usynlige, ?lavaq-avfc. Om et formodet Sammenhæng af Navnet, den Tilflorede (Atlas's Datter), med geographifle Myther i Theopompus's Merope, ligesom med det store saturnifle Con- tinent hos Plutarch og med Atlantis s. min Examen er it. de l’hist. de la Geographie T. 1. p. 170. Samml. ogsaa Ideler, Unter- suchung über den Ursprung und die Bedeutung der Stern- namen 1809 S. 145 og, med Hensyn til astronomifl Stedbesieminelse, Mädler, Untersuch, über die Fixstern-Systeme. Th. 11. 1848 S. 36 og 166, saavelsom B aily i M em. of Ih c Asir. So c. Vol. XIII. p. 33. 15 (S. 48.) Jdeler, Sternnamen S. 19 og 25. — „On observe“ flger Arag 0, ,,qu'ime lumiére forte fait disparaitre une lumiére faible placée dans le voisinage. Quelle pcut en étie la cause? II esl possible physiologiquement quo l’ebianlement communiqué ä la reline par la himiéie forte s’étend au -dela des points que la lumiére forte a frap- pes, cl que cel ébranlement secondaire absorbe et neutralise en qnel- que sorte l’ébranlement provenant de la seconde et faible lumiére. Mais sans entrer dans ces cauces physiologiques, il y a une cause (lirede qu’on pcut indiquer pour la disparition de la faible lumiere: c’est que les rayons provenant de la grande n’onl pas seulement forme une image nolle sur la rétine, majs se soni disperses aussi sur touies les parties de cel organe a cause des imperfections de trans- parence de la cornée. — Les rayons du corps plus brillant a en Ira- versant la cornée se com por lent comme cn traversant un corps légé- remenl dépoli. Une pai tie de ces rayons rcfractcs régulieremenl forme I1 image meme de a, 1’autre parlie dispersée éclaire la lolalité de ia rétine. C’est done sur ce fond luinineux que se projettc 1’image de I’objel voisin b. Celle derniéie image doit done on disparaitre ou élre alTaiblie. De jour deux causes contribueni a rallaiblissement des (■toiles. L’unc de ces causes e’est Piniage distincte de cette portion de l’atinospherc comprise dans la direction de l’éloile (de la portion aérienne placée entre l’oeil et l’éloile) et sur laquelle l’image de l’éloile vient de ce peindre; lau tre cause c’est la lumiére diffuse provenant de la dispersion que les defauts de la cornée impiiincnl aux rayons ernanants de Lous les points de l’atrnosphére visible. De nuit les couches elmosphériqucs interposées entre l’oeil el l’éloile vers laquelle on vise, n’agissent pas; chaque étoile du ti:mament foime une image plus nette, mais une pas tie de leur lumiére se trouve dispersée a cause