Kosmos III
Udkast til en physisk Verdensbeskrivelse

26 microrn p. XLIV, Lorsque le ciel n’est. 35 100 pent s’ex- sépaiatioii direction du zenith seraient horizontales, par con- serait horizontale aussi et nous ne verrions aucune Dans la supposition des couches aucun rayon ne voie d’une premiere reflexion. Ce ne seraient que Done pour expliquer la 34 (S. 62.) Herr Airy har for kort siden sammenstillingsviis be- skrevet begge Teleskopers Fabrications - Methode: Speilenes Støbning og Metalblandingen, Indretningen til Poleringen og Midlerne til Op- stillingen, i Abstr. of the Asir. Soc. Vol. IX Nr. 5 (march 1849). Om Effecten af Lord Rosses serfods Metalspeil hedder det der (p. 120): The Astronomer Royal (Mr. Aiiy) alluded to the impression made by the enormous light of the telescope: partly by the modifications pro- duced in the appearances of nebulae already figured, parity by the great number of stars seen even at a distance from the Milky Way, and partly from ihe prodigious brilliancy of Saturn. The account given by another astronomer of the appearance of Jupiter was, that it resembled a coach-lamp in the telescope; and this well espresses the blaze of light which is seen in the instrument“. Samml. ogsaa Sir John Hers chel, Outl. of Astr. § 870: The sublimity of the spectacle afforded by the magnificent reflecting telescope constructed by Lord Rosse of some of the larger globular clusters of nebulae is de- clared by all, who have witnessed it, to be such as no words can ex- press. This telescope has resolved or rendered resolvable multitudes of nebulae which had resisted all inferior powers'11 (S. 63.) Delambre, His t. de I’A s tr. m odern e T. II. p. 255. (S. 68.) S truve, Mens. (S. 63.) Schumachers Jahrbuch für 1839. S. (S. 64.) „La lumiére atmosphérique diffuse ne pliquer par le reflet des rayons solaires sur la surface de des couches de diflerentes densilés dont on suppose l’atmosphere com- posée. En effet supposons le Soleil placé å l’horizon, les surfaces de separation dans la sequent la reflexion lumiére au zénith. nous arriverait par- ies reflexions multiples qui pourraient agir. lumiére diffuse, il laut se figurer l’atmosphere composée de rnolécu- les (sphériques par exemple) dont chacune donne une image du soleil a pen pres comme les boules de veire que nous plains dans nos jardins. L’air pur est bleu, parce que d'apres Newton les molecules de Pair out \'epaisseur qui convient å la réflexion des rayons bleus. II est done naturel que les pelites images du soleil que de tons cöles réfléchisscnt les molecules sphériques de Pair et qui sonl la lumiére diffuse, aierii une teints bleue; mais ce bleu n’est pas du bleu pur, e’est un blanc dans lequel le bleu prédomine. pas dans toule sa pureté et que fair est mélé de vapeurs visibles, la lumiére diffuse revolt beaucoup de blanc. Comme la lune est jaune, le bleu de Pair pendant la nuit est un peu verdatre, e’est-a-dire