Kosmos III
Udkast til en physisk Verdensbeskrivelse

39 theoretifle Grunde 450000 og 374000; hos Bouguer ifølge Maaluingcc af Skyggen af Lys (Kerzenlicht) endog ikkun 300000. Lambert vil, at Venus i rens storste Lysstyrke stal være 3000 Gange svagere end Fuld- maanen. Jfolge Steinhcil maatte Solen vcere 3286500 Gange længere Lortfjernet env den nu er, for at vise sig for Jordbeboerne som Arktur (Struve, S l e i 1 a r ti m c.o m p o s i t a r u m Men s nr ae microme- tricae p. CLX1II); og Arktur har efter John Herschel for os kun den halve Lysstyrke af Kanopus (Herschel, Ob serv, at the Cape p 34). Alle disse Intensitets-Forhold, i Særdeleshed den vigtige Sam- menligning afSolens, Fuldmaanens og denne vor Drabants efter sin Stil- ling til den reflecterende Jord saa sorfljellige aflefarvede LyS, fortjene en endelig, meget alvorligere Uudersogelse. 14 (S. 82). Outi, of Asir. p. 553, Astr. Observ. at the Cape p. 363. 15 (S. 82.) William Herschel on the Nature of the Sun and Fixed Stars i Philos. Transact, for 1795 p. 62 og on the Changes that happed to the Fixed Stars i Philos. Trans, for 1796 p. 1S6. Sam ml. ogsaa Sir John Herschel, Observ. at the Cape p. 350—352. 16 (S. 83.) Extrait d’une Lettre de Mr. Arago å Mr. de Humboldt (mai 1850). b) Mesures photomelriques. „II n’existe pas de Photométre proprement dit, c’cst-å-dire, d’in- strument dormant Pintensité d’une lumiére isolée; le Photométre de Leslie, å l’aide duquel il avail eu l’audace de vouloir comparer la lu- miére de la lune å la lumiére du soleil, par des actions calorifiques, est complétemcnt défeetueux. J’ai prouvé, en effet, que ce prélendu Photométre montre quand on l’expose å la lumiére du soleil, qu’il descend sous l’acLion de la lumicre du fen ordinaire, et qu’il reste complétemcnt stationnaire lorsqu'il recoil la lumicre d’une lampe d’Ar- gand. Tout ce qu’on a pu faire jnsqu’ici, e'est de comparer entr’elles deux lurniéres en présence, et cette comparaison n’esl méme å I’abri de tonic objection que lorsqu’on raméne ces deux lurniéres a l’égalité, par un affaiblissement gi’aducl de la lumiére la plus forte. C'est comme crilerium de cette égalité que j’ai employe les anneaux coloiés. Si on place l'une sur Pautre deux lenlilles d’un long foyer, il se forme autour de leur point de contact des anneaux colorés tant par voie de réllexion que par voie de transmission. Lex anneaux réfléchis sonl complémentaiies en couleur des anneaux transmis; ces deux séiies d’anncaux se ncutralisent nmtuellement quand les deux lurniéres qui les forment et. qui arrivent simultanément sur les deux len tilles, sont egales entr’elles.“ „Dans 1c cas contrake on voit des traces ou d’anneadx réfléchis