Rapport géneral de la section francaise

Forfatter: G.-R. Sandoz, P. Dreyfus-Bing

År: 1906

Sider: 724

UDK: 061.4(100) Milano

Exposition Internationale De Milan 1906. Inauguration du tunnel du Simplon

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Side af 807 Forrige Næste
— 92 - président d lionneur de ce Coinilé; S. E. M. le Comte Tornielli, ambassadeur <1 Italic; Trouillol, ministre du Commerce. Extrait du discouhs de M. Ascelot. ... La nierne année 1905 verra sOuvrir (Exposition de Milan, dont s occupe depuis plusieurs années notre dévoué Secretaire general. C est avec une joie bien vive que nous nous acheininerons vers ce beau pays, l'enl'aiit gate de la nature el des arts, pour elmenter avec dos amis (I Halie ce rapprochement si licureux pour Ions, du ä 1 habileté des éminents homines d'Etal de nos deux pays. De ce coté aussi nous pouvons concevoir l’espérance d une réussile com- plete, puisque noire ami Maguin a bien voulu accepter les fonetions de Président de la Commission provisoire ((organisation. Qu il en recoive ici (expression de nos sincéres remerciements. Je salue au nom du Comité Son Excellence M. le Comte Tornielli, Am- bassadeur d llalic, qui a joué un role si importanl dans le rapprochement que je signalais ton I ä Iheurc, el dont la presence nous honore si parlicu- liéreinent, en meine temps qu'elle nous esl des plus agréable. Les directcurs el organisaleurs des Expositions de Liege el de Milan, qui out pareouru la grande distance qui nous sépare physiquement pour elre presents a eel to fete, qui n est ([tie le prelude de celles de 1905. Nous leur adressons le salut le plus cordial, en leur pronietlant tout noire dévoué coiicoiirs... S. E. M. le Comte Tornielli a répoixlu dans les termes suivanls a celle breve allocution : Discours de S. E. M. i.e Comte Tornielli. Monsieur le Ministre, Messieurs, Aprés les diseours si intéressants el si élevés des oraleurs éininenls quo nous avons écoulés, je me demande s il ,n v a pas de la lémérité de ma part a prendre la parole au milieu <le vons. Si, lorsqu on a I honneur de s adressei* ä une reunion aussi noinbreuse el distinguéc que celle devant laquelle jc me Irouve, le désir le plus legitime que I on puisse concevoir est de se trouver d’accord avet' I opinion de l ainliloire, une chose devrait me rassurcr en ce moment, car j’ai la presque certitude que, lorsque j’aurai lini de parler, vons serez Ions de mon avis, du moms sur ce point, que les diplomates soul fails pour causer ;i huis dos el pour se taire en public. On pourrail me deinander pourqtioi jo in écarle aujourd Imi volontaire- inenl d une regie que (observe, quant a moi, le plus souvenl que je le puis. Deux principales raisons in y engagenl el, presque, in v obligent.