Rapport géneral de la section francaise

— 164 — Discours de M. Anculot. Monsieur le Directeur, Je vous prie tout d’abord de vouloir bien étre noire interpréte auprés de M. le ministre du Commerce, pour lui exprimer nos regrets qu’une circon- stance imprévue l ait empéché de se rendre a noire invitation, el je tic ns <i vous remercier de l’honneur que vous avez bien voulu nous (aire en prési- dant ce banquet intime. (Adhesion.) Hiersoir, au debut du magistral cliscours qu il a prononcé, M. le comle Crivelli a bien voulu nous faire part d une charmante dépeche qu il \enail de recevoir de M. le president du Comité exécutif de I Exposition de Milan. Nous avons eru devoir lui répondre télégraphiquemenl ce matin, et je liens å vous communiquer les termes de la depeche que nous lui avons adressée. Elle est ainsi coneuc : « Nous avons vivement regretté volre absence el sommes tres touchés di volre télégramme, lu au banquet par le comle Crivelli, aprés son magistral cliscours, et chaleureusement acclamé par lout les assistants. « Nous savons volre profonde affection pour noire pays « Anssi avons-nous été particuliérement heureux de voire nomination de sénateur, el nous vous renouvelons nos félicilations et les væux que noib formons pour le succes de Imposition et la grandeur de l’Ilalie, notre chére sæur inline. « Ancelot, Maguin, Roger Sandoz. » Je ne veux pas, Messieurs, conserver plus longtemps la parole cl vous demande »implement de lever vos verres en l’honneur de AI. Saint, directeur du Cabinet de M. le ministre du Commerce. Discours de M. Jozon. Messieurs, Il est convent! que noüs devons nous bomer, ec matin, a porter de simples toasts. Je n’oserais pas, d’ailleurs, faire un discours, si href fiil-il, aprés les paroles eloquentes que vous avez ehtendu prononcer hier par M. le ministre du Commerce. .Ie me bornerai done å souhaiter une cordiale bienvenue au Comité exécutif Italien el aux délégués qu’il a bien voulu envoyer, et que nous avons le bonheur de posséder, ce rtiatin, parmi nous. Ils viennenl ici, mieux que ne le font les depeches diplomatique.» el les traités, aflirmer l’alliance de deux peoples qui out un passé comrhun, qui ont les memes souvenirs, qui out traverse des jours glorieux el aussi, quel- quefois, des jours néfastes, niais qui out la meme conliance en la\enn.