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11 admit on outre la reciprocity de droil el le placement, le libre
passage d une société dans une autre, pour les sociétaires éloignés
de leur sociélé d’origine.
Il décida que la fonetion arbitrate des organisations mutualisles
ne pourrait en aucun cas s’ériger en mode de juridiction officieuse
d’appel de jugements rendus par les tribunaux nationaux.
Enfin le congrés se déelara rigoureusement oppose aux discus-
sions politiques el religieuses au sein de la nouvelle Federation.
Le siége de Finstitution ainsi crééefutfixé å Milan pour une durée
de trois années.
M. le ministre Clémenceau avail délégué au congrés MM. Paul
Maze, chef adjoint de son cabinet, et Mascle, directeur de la
Mutualité.
Il les avail charges d'apporter au congrés une lelire d’encoura-
genient et de fél icit at ions, qu i souleva d'unaiiimesapplaudissements.
Un eiithousiasme tres vif ful également soulevé par un discours
de M. Luigi Luzzati, qui, aprés avoir rappelé la genese el, la beaulé
du sen I i nu'ii I mill ua liste, ad jura les nations encore rebelles å la mutua-
lity d’entrer dans la voie tie la solidarity sociale et, dans une plirase
de la plus haute eloquence, confia å la Suisse la noble mission de
convertir l'Allemagne el la Hollande.
Enfin, ce congrés, ouvert au chåteau Sforzesco el continué au
palais des Beaux-Arts, ful cldturé par une excursion au lac Majeur,
donl nous avons déjå parlé.
Congrés international des Cliambres de commerce et des
Associations commerciales et Congrés international de
l'Enseignement commercial.
Le 24 septeinbre, M. le ministre de 1’Agriculture, de l’lndustrie et
du Commerce, Cocco Orlu, inaugura les travaux du congrés inter-
national des Chambres de commerce et des Associations commer-
ciales, tenu a Milan sous le patronage do S. M. lo Boi <1 llalie.
M. le ministre Cocco Orlu était assisté de MM. 1 ingenieur
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