Rapport géneral de la section francaise

- 51 1901 1902 1903 1906-07 (30 juinl907) Longueur totale des lignes. Ki- lométres 15.099 16.030 16.129 17.237 Distances parcourues par les locomotives. Kilometres... . Distances parcourues par les vovageurs de trains mixtes. Kilométres 108 .962.109 52.108.323 23 .944 .960 114 .210 .701 53.996.662 25.632.510 118.324.714 55.312.000 119 .909.708 54 .016.905 35 .261 .411 Distances parcourues par les trains de marchandises. Ki- lométres 27.006.828 Voyageurs .transportés (billets de saison exelus). Nombre . Marchandises transportées (aniinaux vivants exceptés). Tonnes . 61 .443 .035 (1)20.282.954 64 .898.078 (1)22.868.354 68.031.332 (1)23.688.410 63 .000 .000 29 .751 .614 Recettes provenant des voya- geurs. Lire Recettes provenant des mar- chandises. Lire Autres recettes. Lire 121 .695.644 176.232.544 23 .936 .655 128.734.121 189.148.150 24.624.743 134.463.959 199.232.742 26 .528.408 161 .228.00 245 .319.000 18.364.000 Totaux Lire. 321 .8G4 .s',:; 342.507 .014 360 .225.109 424 .911 .000 Dépenses totales. Lire 247 .214.695 257 .718.639 260.583.111 331 .805 .000 Recettes nettes. Lire 74 .650.148 84.788.375 99.641 .998 93 .106.000 Recettes brutes par kilomé- tre. Lire Dépenses brutes par kilomé- tre. Lire 20.225 15.534 21.447 16.138 22.412 16.212 24.651 19-249 Recettes par train kilométri- que. Lire ............... 4 .23 4.30 4 .38 4 .76 Dépenses par train kiloinétri- que. Lire................. 3.25 3.24 3 17 3 .72 Accidents arrivés i Morts .. aux passagers .. 1 Blessés . Accidents arrivés j Morts .. aux employés .. i Blessés . Autres accidents * Morts .. (au 30 juin 1907). i Blessés . 9 213 68 809 70 100 8 298 83 729 63 107 17 477 71 780 67 94 43 722 146 1 .836 88 156 Totaux... ' Morts.. • Blesses . 147 1 .122 154 1 .134 155 1 .351 277 2.744 Par mer. — Le développeinenl des coles de I Italic semblait la prédestincr a un important commerce maritime, tant intérieur qu’extérieur.niaissa situation favorable comme escale, surles grandes routes par mer (hi Levant et de l’Orient l en a longtemps privée, malgré l esprit d'enl reprise de ses armateurs ri labondance et l’énergie de sa population maritime, en facilitanl aux compagnies éll ängeres des escales avanlageuses, leur permettant d’oflrir ud frei å bas prix, non seulemenl aux produits ilaliens, mais aussi å ceux transi tant du Nord et de 1’Europe centrale. Finalement, le gouver- nenienl dut se «lécider, l<>28 juillcl 1896, åfavoriserlepavillon nat ional (l) Non compris les petits colis.