ForsideBøgerOrnementation Usuelle : D…riels Et En Architecture

Ornementation Usuelle
De Toutes Les Époques Dans Les Arts Industriels Et En Architecture

Forfatter: Rodolphe Pfnor

År: 1866-1867

Forlag: La Librarie Artistique de e. Devienne et Cie

Sted: Paris

Sider: 418

UDK: 745.04 Pfn

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lor AVRIL 18G8 22« LIVRAISON ABONNEMENTS CHEZ M. Rodolphe PFNOR. RUE DE VAUGIRARD, 146 18, RUE BONAPARTE ADMINISTRATION RÉDACTION ET ABONNEMENTS librairie ARTISTIQUE IF ORNEMENTATION DE TOUTES LES ÉPOQUES DANS LES ARTS INDUSTRIELS ET EN ARCHITECTURE SOMMAIRE GRAVURES : Vitrail de l’Église d’Époisses. — Bahut en bois sculpté et détails. TEXTE : Explication des Gravures, A. DeLaRocque. — Les Arts parisiens, A. Luchet. — L’Art et l.s Ecoles, Frédéric Lock. — Bulletin. — Galerie de l'Histoire du travail, A. DeLaKocql’E. VITRAIL DE L’ÉGLISE D’ÉPOISSES. (Nos d’ordre 113 et 114) Ce vitrail décore une des trois fenêtres de l’abside de l’an- cienne collégiale d’Époisses, monument du douzième siècle, qui n'est pas sans valeur architecturale. Les vitraux de cette église ont été complètement exécutés par M. Oudinot. Celui que nous donnons représente les principaux actes de la vie de saint Symphorien, patron de la paroisse : saint Symphorien baptisé par saint Benigne, puis devant ses juges; enfin, marchant au supplice et exhorté par sa mère. Chaque sujet est inscrit dans un médaillon circulaire à fond bleu, encadré par une mosaïque dont Yharmonie est verte et rouge; la bordure, sur fond bleu, forme au pourtour rappel de ton. Cette harmonie est relativement sombre; toute l’ornementa- tion est grave et s’inspire de la tristesse empreinte dans cette douloureuse légende. BAHUT EN BOIS SCULPTÉ ENSEMBLE ( No d’ordre 119) Nous commençons dans ce numéro la monographie d'un meublo appartenant à M. le Comte Lepic, surintendant des Bâtiments de la Couronne, et qui, à tous égards, peut passer pour une composi- tion d’un rare mérite. L’ensemble de ce meuble nous fait voir comment les artistes du seizième siècle soumettaient les formes architectoniques à la com- position des objets mobiliers. Nous y retrouvons, en effet, tous les éléments de l’architecture antique : soubassement, colonnes, entablement, archivoltes, etc., etc. ; mais tous ces détails se sont prêtés à l’usage auquel ils devaient répondre dans chaque partie du meuble. Nous ferons observer la proportion claire, précise, harmonieuse de cet ensemble, que l’abondance de sa décoration, et sa dimension restreinte n’empêchent pas de conserver la gran-