Exposition Universelle Internationale De Bruxelles 1910
Organe Officiel De L'exposition, Vo.l 1

L’EXPOSITION DE BRUXELLES i5g nos échanges avec l’étranger ne s’élevaient qu’à quelque 200 millions, ils - atteignent aujourd’hui 7 milliards. Si l’on tient compte de la population, ce chiffre place la Belgique au premier rang parmi les nations. » J’espère que les deux branches du groupe XIX fourniront une fois de plus une participation des plus intéressante et spécialement que le compar- » En voyant réunis dans cette enceinte tant de réprésentants distingués de l’armée et de la milice citoyenne, je m’assure que, comme aux exposi- tions précédentes, le compartiment militaire sera un des plus importants et qu’il mettra en lumière les progrès que nos diverses armes ne cessent de réaliser. » Enfin, le groupe XXI procurera une partici- que nous installons aujourd’hui sera digne de notre pays et contribuera dans une large mesure au succès de l’Exposition de Bruxelles en igio. » Au nom du gouvernement, je vous remercie de la précieuse collaboration que vous voulez bien apporter aux organisateurs de cette grandiose mani- festation de l’activité nationale. » timent du Congo sera plus remarquable encore qu’à l’Exposition de 1897. » Messieurs, je tiens à rendre hommage au zèle averti déployé par l’armée belge dans l’accom- plissement de sa noble mission. Les patriotes savent qu’ils peuvent avoir dans son dévouement et dans la science de ses chefs une confiance absolue. pation qui sera digne du bon renom que la Bel- gique s’est acquis sur le terrain sportif. En même temps, les divers concours qui seront organisés fourniront à nos compatriotes l’occasion de con- quérir de nouveaux lauriers. » En un mot, Messieurs, tout me donne l’assurance que, grâce à votre concours éclairé et dévoué, la participation des trois groupes Constitution des groupes XVI et XVII Une importante assemblée réunissait le mercredi 3 courant, dans la grande salle des fêtes du Palais des Académies, les membres des groupes XVI (économie sociale) et XVII (hygiène-bienfaisance), sous la présidence de M. Hubert, ministre de l’Industrie et du Travail, qu’entouraient au bureau