Kosmos III
Udkast til en physisk Verdensbeskrivelse
Forfatter: Alexander Von Humboldt
År: 1859
Serie: Kosmos
Forlag: F.H. Eibe
Sted: Kjøbenhavn
Udgave: Andet Oplag
Sider: 166
UDK: 50 Gl.
DOI: 10.48563/dtu-0000166
Tredie bind. Oversat af C. A. Schumacher.
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fratz (1809) „les queues an nombre de 4 ou 8 qu’ofTrent les éloiles
ou une bougie vue å 25 metres de distance, sont les caiisliques du
cristallin Cornices par l’i i> ter sec lion des rayons réfiaclés." Ces cati-
stiques se meuvent å mesure qne nous inclinons la tete. — La pro-
piiété <ie la lunette de terminer 1’image fait qu’cile concentre dans un
petit espace la lumicre qui sans cela en aurait occupé un plus
grand. Cela cst Mai pour les éloiles fixes et pour les disques des
planétes. La lumiere des ctoiles qui n’ont pas de disques reels, con-
serve la méme inlensité, quel que soil Ie grossissement. Le fond de
pair duquel se délache l’éloilc dans la lunelle, devient plus noir par
le grossissement qui dilate les molecules de Pair qu’embrasse le champ
de la lunette. Les planétes å vrais disques deviennent elles-memes
plus pales par cel eilet de dilatation. — Qua nd la pein tin e locale cst
nette, qua nd les rayons d' un point de I’objecl se sont concentres en
vn sent point dans 1’image, 1’oculaire donne des resultats satisfai—
sants. Si au conlraire les rayons émanés d’un point ne se réunis-
sent pas au foyer en un seul point, s’i s y forment un petit cercle,
les images de deux points con tigus de I’objecl empiéleiil néeessaire-
rnent Pune sur l’auire; kurs rayons se confondenl. Gelte confusion
la lentille oculaire ne saurait la faire disparailre. L’otTice qu’cile rcm-
plit exclusivement, e’est de giossir; eile gtossit lout ce qui cst dans
1’image, les défauts comme le reste. Les ctoiles n’ayant pas de diame-
tres angulaires sensibles, ceux qu'elles conserved loujours, tiennent
pour la plus grande pat tie au manque de perfection des instrumens
(a la courbuie moi ns reguliere donnée aux deux faces de la ientille
objective) el a quelques défauts el aberrations de noire ocil. Plus
une éloile semble pelite, tout ctant égal quant au diametre de 1’ob-
jectif, au grossissement employé et a 1’cclat de l’éloilc observes, et
plus la lunette a de perfection. Or le meillcur moyen de juger si les
étoiles sont tres pelites, si des points sont représentés au foyer par
de simples points, e'est évidemmenl de viser a des éloiles excessive-
men I rapprochées enti'ellcs el de voir si dans les éloiles doubles cou-
nties les images se confondenl, si elles em pie tent Pune sur 1 autre
ou bien si on les apeiQoit bien neltement sépaiées.“ (Arag 0,
Haandstrifter fra 1834 og 1847.)
40 (S. 105.) Hassenfratz sur les rayons divergens des
Éloiles i Delam etherie, Journal de Physique T. LXIX.
1809 P. 324.
4i (S. 106.) H ora po Hinis Niloi II icrogly phica ed. Com.
Leemans 1835 cap. 13 p. 20. Den lærde Udgiver (Leemans) anfører
imod Jomard (Descr. de l’Égypt. T. VIL p. 423), at Stjernen
som Taltegn for 5, hidtil endnu aldrig er bleven fundet paa Monumenter
og Papyrusruller (Horap. p. 194).