Rapport géneral de la section francaise

Forfatter: G.-R. Sandoz, P. Dreyfus-Bing

År: 1906

Sider: 724

UDK: 061.4(100) Milano

Exposition Internationale De Milan 1906. Inauguration du tunnel du Simplon

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— 170 - Des missions comme celle ä laquelle vous allez vous consacrer de nouveau sont particuliérement attaehantes, parce qu’elles réunissent, pour aider au progrés commun, des bommes de bonne volonte el qu’elles concourcnt ;i I'avenement de la concorde universelle. Laissez-moi vous féliciter tres sincérementde tout le dévouement dont les uns et les autres vous avez donné tant de preuves, el remercier également M. le president et ses collaborateurs du Comité des Expositions francaiscs ä 1'Kl ranger, en les assurant que, dun commun accord, les administrateurs el les élus de Paris el du departement de la Seine s'emploieront toujours ;i encourager leur initiative el applaudiront cordialement ä lours succes. Discours de M. Crivelli. Messieurs, Je ne sais comment vons remercier de l accueil qui nous ost fait aujour- d’hui. J'espére bien que les représentants de la Ville de Paris el du departement de la Seine pourront venir, l’an prochain, nous rendre visile. Paris el Milan se serreront la main en toute cordialilé, el celle étreinle sera comme un presage de paix universelle, de solidarité entre tons les peuples. v Comme l a tres bien dit M. Bellan, ce soul les voies de communication phis nombreuses, les rapports plus frequents entre les peuples, qui sont les vrais moyens du rapprochement moral qui fera, un jour, de toutes les nations une seule famille. S’il nous était permis de formuler un souhail, nous vous dirions, Messieurs, combien nous seriens heureux que la ville de Paris voulul bien, comme elle l a fait si brillamment ä Liege, se charger de l’installation de nos jardins ;i Milan. Vous étes passes martres en eet art, cl nos compatriotes pourraient, pour un moment, se croire ainsi revenus sur les bords <le la Seine, d'oü ils ont rapporté, en 1900, un si délicieux souvenir. Messieurs, je vous remercie de tout cæur au nom de la ville de Milan, el, puisqu il n y a pas ici de représenlant ofliciel de mon pays, je vous remercie au nom de l ltalie de tout ce que vous avez dit cl aimable, pour elle et pour le chef de l’Etat qui est, je vous l’assure, un ami tres sincere de la France. Discours de M. Jozon, Commissaire general. Messieurs, Je ne veux dire qu un simple mol. L honorable M. Bellan vous a parlé tout ä l’heure des sentiments de Paris ; eli bien, ces sentiments sont ceu\ de la France tout entiére.