Kosmos I
Udkast til en physisk Verdensbeskrivelse.

71 Trait.é de PAurore bor. p. 47 og 263. Gjengivet as A rag o i Annuaire 1842 p. 412. Tils. „Mairan est le premier , je crois, qui ait regardé les nébulosités, dont quelques étoiles sont eutourées, comme leurs at- mospheres. En 1731 il aper^ut un,circle regulier de clarté autour de l’étoile d qu’Htiygens pla^ait, en 1656, complétement en dehors de la belle nébulcuse d’Orion. ,, „Cetté clarté, ajoutait-il, serait touts sem- ..„blable å celle quo produirait, comme je crois, l’atmosphére de notre ,,„Soleil, si eile devenait assez dense et assez étendue pour etre visible „ „avec des lunettes a une pareille distance“*•. p. a. St. S. Dette er en Fornyelse af Keplerske Anskuelser. -2 (S. 115.) Dominicus Cassini antog allerede, ligesom senere Laplace, Schubert og Poisson, Hypothesen om en afsondret Ring til Forklaring af Zodiakallysets Form. Han siger bestemt: „si les or- bites de Mercure et de Venus étoient visibles (matériellement dans toute l’étendue de leur surface) nous les verrions habituellement de la i ne-me figure et dans la nierne disposition å l’égard du Soleil et aux memes temps de l’année que la lumiére zodiacale-. (Mém. de l’Acad. T. VIII. 1730, p. 218, og Bivt i Comptes rendus 1836 T. III. p. 666.) Cassini troede Zodiakallysets dunstformige Ring var sannnensat af en utallig Mængde smaa planetariske Legemer, der omkredsede Solen. Han var endvidere ikke utilbøjelig til at troe, at Fald af Jldkugler staae i Forbindelse nred Jordens Gjennemgang gjennem Zodiakal-Taage-Ringen. Olm st ed og fornemmelig Biot (p. a. St. p 673) have sogt at udfinde et Sammenhæng med dette og November-Phænomenet; en Mulighed, som Olbers betvivler. (Schum. Jahrbuch lö37, S. 281.) Angaaende Sporgsmaalet, om Zodiakallysets Plan træffer fuldkommen sammen med Sol-A§quatorens Plan, s. Houzeau i Schum. A str. Nachr. i 843, Nr. 492, S. 190. Tils.-----------„Je n’ai pas la prétention de donner les elements calculés plus haut pour ceux de la lumiére zodiacale-. Mais je crois avoir démontré que la supposition de 1’existence de cette lumiére dans le plan de l’équateur du sol eil ne satisfait pas aux observations. Je me propose de determiner la situation apparente de ia lumiére zodiacale toutes les fois que l’état du ciel me le permettra, dans le but particulier de recueillir des observations propres au calcul. On aura été frappe sans doute du grand rapprochement que nos elements indiquent entre la ligne des noeuds de la lumiére zodiacale et celle des noeuds de l’équateur terrestra sur l’écliptique. Cette cir'constance, pour autant qu’elle se vérifle, potirra jeter un jour nouveau sur les causes de ce piiénoméne luinineux, causes qui seront peut-etre plus locales qu’on ne Fa suppose jusqu’ici. J. C. Houzeau. p. a. St. S. -8 (S. 115.) Sir John Herschel, Astron, (oversat as Pros. P. Pedersen) § 487. Tils. „Halen ved den store Comet as 1680, umiddel- bart esterat den var gaaet igjennem Periheliet, sandt Newton al have