Kosmos III
Udkast til en physisk Verdensbeskrivelse

28 de l'objectif par le carré du dia- concourapt a former /’ensemble de 1’imagc å la quantité totale de lumiere qtii for- Paide d'une lunette, comme la surface de de l’objectif. Les inlensilés comparatives, du faisceau érnergent rapport des quantiles totales de quanlilé totale de lumiere a I’oeil nu, sera done aussi me l’image de la planéte a la pupille est ä la surface non plus de points isolés, mais de deux images d'une planéte, qui se forment sur la réline a I’oeil nu, ct par I'intermediaiie d'une lunette, doivent évidemment diminuer proportionnellement aux étendues su- perficielles de ces deux images. Les dimensions linéaires des deux images sent cnlr'elles comme Ie diametre de l'objectif est au diame- tre du faisceau érnergent. Le nombre de fois que la surface de l’image amplifiée surpasse la surface de l’image ä I’oeil nu, s'obliendra done en divisant le carré du diametre metre du faisceau érnergent, ou bien la surface de l'objectif par la surface de la base circulaire „Nous avons déjå oblenu Ie lumiere qui engendrent les deux images d'une planéte, en divisant la surface de Pohjeclif par la surface de la pupille. Ce nombre est plus petit que Ie quotient auquel on arrive cn divisant la surface de l'objectif par la surface du faisceau érnergent. Il en résulte, quant aux pl a notes: qu’une lunette fait moins gagner en inlcnsilé de lumiere, qu’elle ne fait perdre en agrandisssnt la surface des images sur la rétine: I’in ten si lé de ces images doit done aller coniinuellement en s’alTaiblissant å mesure que le pouvoir amplificatif de la lunette on du telescope s’accioit.“ „L’atmosphcic pent élre considcrée comme une planéte ä dimen- sions indefiriies. La portion qu’on en vert a dans une lunette, subira done aussi la loi d’afl'aiblissement que nous venons d’indiquer. Le rap- port entre l’intensilé de la lumiere d’une planéte et le champ de lu- miere atmosphérique ä travers leqiiel on la verra, sera le méme å I’oeil nu el dans les lunettes de lous les grossissements, de toutes les dimensions. Les lunettes sous le rapport de l'intensité, ne favo- risent done pas la visibililé des planetes ,.11 n’en est point ainsi des étoiles. L’intensilé de l’image d’une étoile est plus forte avec une lu nette qu’a I’oeil nu; au contraire, le champ de la vision, uniformément éclairé dans les deux cas par la lumiere atmosphérique. est plus clair å i’oeil nu que dans la I undte. II y a done deux raisons, sans sortir des considerations d’intensilé, pour que dans une lunette l’image de letoile prédomine sur celle de 1’atmosphere, notablement plus qu’ä Poeil nu.“ „Celle prédomincnce doit aller graduellement en augmenlant avec le grossissement. En eilet, abstraction fa i te de ccrlaine augmentation du diarnétre de l’étoile, consequence de divers e flets de diffraction ou ^interferences, abstraction fa i le aussi d'une plus forte reflexion