Kosmos III
Udkast til en physisk Verdensbeskrivelse

29 que la In micro subit sur les surfaces plus obliques des oculaires de ties courts foyers, l'inlensité de la lumiere de l'étoile est constante laut que 1’ouveiture, de l’objectif ne varie pas. Comme on l'a vu, ia clarté da champ de la lunette 9 an contraire, di m in ne sans cesse a mesure que le pouvoir amplificalif s’acci'oit. Done, toules an Ires ci r- constances reslant egales, une éloile sera d’autant pins visible, sa prédominence sur la lumiere du champ du telescope sera d’autant plus tranchéc qu’on fera usage d’un grossissement plus fort.4, (Arago Haandskrift fra 1847.) — Jeg tilføjer endnu af Annu- ai re du Bureau des Long, pour 1846 (Notices scient, par Mr. Arago) p. 881: „L’expériencc a montre que pour le commun ties bommes, deux espaces éclairés et conligus ne se distinguent pas 1’un de Pauli c, å moins que leurs intensilés comparatives ne présentent, au minimum, une dillérence de Voo* Quand une lunette est tournee vers le firmament, son champ semble uniformement, éclairé: e'est qu’alois il exisle, dans un plan passant par le foyer et perpendicu- laire å i’axe de l’objectif, une image indéfmie de la region atmosphé- rique vers laqueile la lunette est dirigée. Supposons qn’iin aslre, c'est-å-dire un objet silué bien au-delå l’atmosphére, se trouve dans la direction de la lunette: son image ne sera visible qu’autant qu’elle auginentera de Veo, au moins, l'inlensité de la portion de l’image fo- cale indéfmie de l’atmosphére, sur laqueile sa propre image limitée ira ce placer. Sans cela, le champ visuel continuera a paraitre par- tout de la meine intensité.“ 40 (S. 65.) Den tidligste Offentliggjorelse af Ara go s Forkla- ring af Scintillationen sieete i Tillæget til 4be Bog af min Voyage aux Régions équinoxiales T. 1. p. 623. Jeg glæder mig ved at kunne berige Afsnittet over det naturlige og teleskopiske Seen med de herfolgende Oplysninger, som jeg af de ovenfor (Anm. 10) angivne Grunde atter har ladet aftrykke i Originaltexten- Des causes de la Scintillation des éloiles. ,,Ce qu’il y a de plus remaiquable dans le phénoménc de la scin- tillation, c’esl le changement de couleur. Ce changement esl beau- coup plus frequent que ['observation ordinaire l’indique. En oliet, en agilant la hinelte, on iransforme l’image dans une ligne ou un cercle, et ions les points de celle ligne ou de ce ceicle paraissent de couleurs différenles. C’est la résultanlc de la superposition de toutes ces imr- ges que l’on voit, lorsqu’on laisse la lunette immobile. Les rayons qui se réunissent au lover d’unc lentille, vibrenl d’accord ou en dés- accord, s’ajoutent ou se détruisent, suivant que les couches qu’iis ont traversées, oni teile ou teile réfringence. L’ensemble des rayons rouges peut se liétruire seal, si ceux de droile et de gauche el ceux de haut et de bas out traverse des milieux inégalement réfringents.